Résumé du journaliste scientifique Bruno Geoffroy

Malgré leur réputation de produit sécuritaire (faible émission de composés organiques volatils) et leur label « ami de l’environnement », ce type de peintures qui a balayé leurs équivalents à base d’huile aurait des conséquences sur la santé des enfants. Tout du moins, les vapeurs émises augmenteraient les risques que les enfants développent des allergies et de l’asthme. De deux à quatre fois plus de risques en fait. La faute à qui? Aux éthers de glycol et au propylène glycol présents dans les formulations. C’est ce qui ressort d’une récente étude publiée dans le journal PLoS ONE. Les chercheurs restent tout de même prudents quant à leurs conclusions. En effet, les enfants et les adultes par la même occasion sont exposés à ses produits chimiques de multiples façons au quotidien : pesticides, médicaments, cosmétiques, détergents, liquide antigel ou plats cuisinés.

À suivre entre deux coups de pinceau.