par Hugo Dumas

Photo: archives La Presse

« La Presse a obtenu d’une taupe bien fouineuse le contrat standard de Call-TV. Un contrat rédigé dans un français atroce, soit dit en passant.

Pas étonnant que les animateurs et animatrices de Call-TV multiplient les niaiseries et coups d’éclat pour attirer l’attention en ondes. C’est inscrit noir sur blanc dans leur contrat de plus de 20 pages: si le serveur n’enregistre pas un minimum de 1000 appels pendant les deux heures qu’ils pilotent cette infopub sur V, le producteur fronce les sourcils. Après deux quotas non respectés, houlala, c’est une «faute grave» pouvant mener au congédiement. »