« J’ai connu au Saguenay un jeune homme intelligent, malade mental et drogué jusqu’à la moelle. À force de crises, plus personne n’en voulait; pas d’adresse, pas de «BS». Il est mort comme un chien dans un banc de neige. Certaines personnes ne sont pas, ne sont plus, des adultes autonomes. Ayons le courage de les mettre sous tutelle, au lieu de prétexter leurs droits fondamentaux, et de les balayer sous le tapis en se plaignant de la mendicité et de l’itinérance. »

Autrefois, on les enfermait à l’asile.

Aujourd’hui, le banc de neige, la prison, la balle dans la tête… Le respect, l’authentique compassion se trouvent entre les deux. »

L’article au complet