Vivre sous la croix, un rare, très rare reportage sur les Bérets blancs

Jeffrey Déragon/UQAM (24 H)

Joachim. Jeffrey Déragon/UQAM

Chaque automne, la frénésie s’empare du petit village de Rougemont en Montérégie et les gens prennent d’assaut les vergers. Cette année ne fait pas exception.

Des voitures sont stationnées pêle-mêle sur la rue Principale. Au milieu de la cohue, entre deux maisons centenaires, un chemin mène à deux bâtiments blancs semblables à des pensionnats catholiques. «Interdits sur le terrain : Mini-jupes, Shorts. Tenues modestes S.V.P.», peut-on lire sur l’écriteau qui accueille les visiteurs au domaine des Pèlerins de Saint-Michel, une communauté religieuse fondée en 1939 par Louis Even, un fervent catholique.

Coiffé d’un béret blanc, Marcel Lefebvre, le directeur de l’établissement, attend debout près de l’entrée de la maison Saint-Michel. Il ouvre rarement les portes de la communauté aux médias.

Vivre sous la croix, un rare, très rare reportage sur les Bérets blancs

Jeffrey Déragon/UQAM (24 H)

Joachim. Jeffrey Déragon/UQAM

Chaque automne, la frénésie s’empare du petit village de Rougemont en Montérégie et les gens prennent d’assaut les vergers. Cette année ne fait pas exception.

Des voitures sont stationnées pêle-mêle sur la rue Principale. Au milieu de la cohue, entre deux maisons centenaires, un chemin mène à deux bâtiments blancs semblables à des pensionnats catholiques. «Interdits sur le terrain : Mini-jupes, Shorts. Tenues modestes S.V.P.», peut-on lire sur l’écriteau qui accueille les visiteurs au domaine des Pèlerins de Saint-Michel, une communauté religieuse fondée en 1939 par Louis Even, un fervent catholique.

Coiffé d’un béret blanc, Marcel Lefebvre, le directeur de l’établissement, attend debout près de l’entrée de la maison Saint-Michel. Il ouvre rarement les portes de la communauté aux médias.