Camille Laurin (à droite) et Robert Vézina, président-directeur général de l'OQLF (à gauche)
Camille Laurin (à gauche) et Robert Vézina, président-directeur général de l’OQLF (à droite)

Le Devoir

Les quelque 240 employés de l’Office québécois de la langue française (OQLF) ont eu besoin d’une «formation», au coût de 17 786 dollars, pour se relever de l’épisode du «pastagate».

[Robert Vézina] a défendu cette dépense exceptionnelle en soulignant que le «pastagate» avait été «un événement déstabilisant pour l’ensemble du personnel». Cette formation a été offerte à aux employés de l’OQLF «pour justement passer par-dessus cette épreuve, pour que des les gens puissent exprimer ce qu’ils voyaient par rapport à l’avenir de l’organisation, ce qu’ils pensaient, comment ils croyaient qu’on en était arrivé à vivre une telle crise», a expliqué Robert Vézina.

(…) Ç’a été très salvateur pour le climat de travail et la rétention de personnel.»