Un journaliste passe trois jours avec les espérantistes à l’occasion de la British Esperanto Conference 2016. Problème : il ne parle pas un mot d’espéranto.

Équipe du Kiosque mai 31, 2016 Un journaliste passe trois jours avec les espérantistes à l’occasion de la British Esperanto Conference 2016. Problème : il ne parle pas un mot d’espéranto.2016-05-31T12:48:10-05:00

esperanto Un article d’Edward Docx

This was going to be my world. For three days. All good. All more than good. Except, I have to confess, for one thing: I was totally unable to understand a word that anybody said. Or any of the events. Or pretty much anything at all that was happening.

Dans Prospect Magazine: Esperanto: the language that never was

Edward Docx, Esperanto, Journalisme, langues, Prospect Magazine, société

Un journaliste passe trois jours avec les espérantistes à l’occasion de la British Esperanto Conference 2016. Problème : il ne parle pas un mot d’espéranto.

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