Depuis 20 ans, nos artisans du documentaire au Québec travaillent dans des conditions de plus en plus précaires.

Commentaire d’un documentariste abonné :  “Il y a 800 membres dans l’association des réalisateurs… Canal D produisait plus de documentaires que toutes les autres chaînes francophones réunies.

On voudrait plus de films avec des points de vue… WOKE, la plupart du temps. Je crois que ces points de vue ont contribué à éloigner le spectateur. Moi je pense que l’on est jamais plus intéressant que notre sujet.

En même temps on a eu tendance à imiter la télé-réalité. C’est moins cher. Les aventures d’un chercheur d’or, de vidangeurs, de danseuses nues, d’opérateurs de toilettes chimiques. Cela garde le nom de documentaires. Télé-Québec n’achète plus que des documentaires d’observation…”