« Il suffit de penser à ces femmes et ces jeunes filles — je l’écris ainsi parce que ce sont majoritairement celles-ci qui sont affectées — dont le visage est superposé de façon beaucoup trop réaliste à des vidéos pornos, laissant croire à quiconque que la personne qu’on y reconnaît a vraiment pris part à « l’événement ». D’autres personnes qui se font prêter des propos racistes, diffamatoires ou autres qu’elles n’auraient jamais prononcé, mais dont le rendu est tellement crédible qu’on ne peut conclure autrement qu’à une vidéo légitime.

Il faut le voir pour le croire, veut l’adage: maintenant, on ne peut même plus faire confiance à ses yeux… »

Le Soleil.