George Orwell : «Certaines idées sont tellement stupides qu’il n’y a que les intellectuels pour y croire.»
Hitler : le grand historien Arnold Toynbee, connu pour son histoire du monde, a interviewé le Führer allemand en 1936 et a déclaré être « convaincu de sa sincérité dans la recherche de la paix en Europe ».
Staline : Jerome Davis, un célèbre théologien de la Yale Divinity School, pensait que « ce serait une erreur de considérer le dirigeant soviétique comme un homme obstiné et enclin à imposer ses idées aux autres. »
Mao : John K. Fairbank, doyen des spécialistes américains sur la Chine à Harvard, a affirmé : « La révolution maoïste est dans l’ensemble la meilleure chose qui soit arrivée au peuple chinois depuis des siècles » et a conclu que la Chine de Mao « est bien plus notre amie que notre ennemie. Elle est singulièrement tournée sur elle-même et inoffensive vis-à-vis de l’étranger. »
Arafat : Edward Said, professeur d’université à Columbia, a déclaré que le dirigeant palestinien « a fait de l’OLP un organe véritablement représentatif. »
Khomeini : Richard Falk, politologue à Princeton, a estimé que l’ayatollah iranien avait créé « un nouveau modèle de révolution populaire, basé en grande partie sur des tactiques non violentes ». Il a ajouté en conclusion que « l’Iran peut nous fournir un modèle de gouvernance humaine on ne peut plus nécessaire pour un pays du tiers monde. »
Kim Jong II : Bruce Cumings, historien à l’Université de Chicago, dépeint le dictateur nord-coréen comme « un casanier qui entretient peu de contacts, ne boit pas beaucoup et travaille à la maison en pyjama. … Il aime surtout bricoler, assis à terre, avec ses nombreuses boîtes à musique. … Il est prude, timide et, comme la plupart des pères coréens, prêt à tout pour son fils. »
Mussolini : Herbert Croly, rédacteur en chef et fondateur du [magazine américain] The New Republic, s’extasiait face à « l’élan du nationalisme italien qui … permettrait aux Italiens d’acquérir la maîtrise d’eux-mêmes par le renouveau d’une vision morale. » Il voyait dans le fascisme « une expérience politique qui a insufflé dans toute une nation, un surcroît d’énergie morale et a magnifié ses actions en les subordonnant à un but commun profondément ancré. »