“Apparemment, nous devons retirer les termes “victime”, “survivant”, “trigger warning” et “afro-américain”. Nous devons le faire si nous cherchons à ignorer certains principes linguistiques fondamentaux tout en nous engageant dans une gymnastique sociologique nettement ingrate. Lorsque nous devons ne serait-ce qu'”envisager” d’éviter le mot prisonnier (essayez personne incarcérée) ou walk-in (parce que tout le monde ne peut pas marcher) et l’expression tout ce qui se passe en ce moment (je vous laisse découvrir ce qui ne va pas avec cette expression), nous sommes sermonnés par des personnes qui cherchent à changer la réalité par le biais d’une police performative des bonnes manières.”

Note : l'”Opressive Language List” a changé de nom. C’est maintenant la “Suggested Language List”, et elle est disponible ici.

The Atlantic.