L’actualitélise-thibault

Dès le départ, on savait que le procès de Lise Thibault ne serait pas ordinaire… mais on ne savait pas jusqu’à quel point ! dit le blogueur Mathieu Charlebois, qui recense (et commente) ici quelques-unes des déclarations de l’ex-lieutenante-gouverneure.

 

Extraits

Une garde-robe de fonction — elle se changeait souvent trois ou quatre fois par jour — et de nombreux déplacements rendaient les finances extrêmement serrées, plaide la septuagénaire. (La Presse)

«Lorsque l’on est un citoyen ordinaire, on attend que les vêtements soient en solde, mais moi je ne pouvais pas, je n’avais pas le temps.» (Journal de Québec)

«[Après mon mandat,] je me suis retrouvée démunie, avec une petite retraite (annuelle) de 30 000 dollars, avec des dettes, une garde-robe remplie de vêtements.» (La Presse)

[…] Elle a répondu en indiquant que la garde-robe des hommes coûtait beaucoup moins cher, sur 10 ans, «18 complets, quatre ou cinq douzaines de paires de chaussettes et bobettes», etc. «Essayez de voir ce que cela représente pour une femme, a-t-elle lâché. Il faut bien arriver quelque part. Je n’imprime pas d’argent.» (Le Devoir)

«C’était incroyable le temps que ça prenait de faire les changements de saison.» (La Presse)